À Jemappes, la demande de permis d’urbanisme pour un projet de mosquée et d’école coranique a été rejetée par la ville. Ce refus repose sur plusieurs éléments objectifs : manque de places de parking, absence de voirie adaptée, incohérence avec les prescriptions urbanistiques du quartier.
Une décision responsable
Avec mon collègue au conseil communal Georges-Louis Bouchez nous avons interpellé le Collège en ce sens. Il ne s’agit pas de stigmatiser un projet religieux, mais bien de garantir une urbanisation harmonieuse et une cohérence avec les réalités de terrain. Le projet posait des problèmes concrets de mobilité et de sécurité.
Une nécessaire concertation
La ville a rappelé qu’elle restait ouverte à un projet alternatif, mieux pensé, dans un cadre plus approprié. Il faut que les projets de lieux de culte, comme tout autre équipement collectif, soient portés en concertation avec les riverains, les communes et les services compétents.
Un équilibre à préserver
L’enjeu n’est pas uniquement urbanistique. Il est aussi social. Tout projet de cette nature doit favoriser la cohésion et non créer des tensions. À Jemappes, le projet de mosquée et d’école coranique devra être réévalué avec sérieux, dans le respect de tous.
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