Ce vendredi 13 octobre 2023, à un an très précisément des élections communales, Mons en Mieux a présenté les idées directrices de sa campagne électorale, lors d’une conférence de presse. Qu’y a-t-on appris? Des noms de candidats, des personnalités nouvelles prêtes à embarquer sur la liste MeM en 2024? Georges-Louis Bouchez assure qu’on se presse au portillon, pourtant il n’a donné aucun nom à ce stade. « À partir de la première semaine de novembre, on commencera à présenter les candidats, venus d’horizons divers. » Ce vendredi, Georges-Louis Bouchez était entouré de quatre membres de MeM: Françoise Colinia, Guillaume Soupart, Emmanuel Tondreau et Opaline Meunier.
GLB a descendu en flammes l’actuelle majorité PS-Ecolo en général et le bourgmestre Nicolas Martin en particulier. Pour lui, le collège n’a pas de projet, pas de perspective et est coupé de la population. Le groupe MeM organise régulièrement des rencontres citoyennes, fait-il valoir. Georges-Louis Bouchez s’engage à se consacrer entièrement au mayorat s’il venait à être élu à Mons, mettant en doute, avec insistance, sur la volonté de Nicolas Martin d’en faire autant.
Les projets de MeM pour la ville portent notamment sur la mobilité, la sécurité et l’emploi. En matière de sécurité, GLB prône différentes mesures dont « un barrage policier tous les week-ends par rapport à un certain public venant de France ». Mons a un gros problème de drogue, a-t-il souligné.
Mais Georges-Louis Bouchez veut surtout se présenter comme « le bourgmestre du travail ». Il déplore une fois de plus que Mons n’ait plus d’échevin de l’emploi, et prône des mesures d’activation des sans-emploi originales, comme un suivi intense et personnalisé (« aller les chercher chez eux le matin ») des allocataires du CPAS.
La presse en parle !
La DH – La Province – TéléMB