La Ville de Mons envisage de supprimer l’intercommunale du bois d’Havré, une structure qui, à mes yeux, n’a plus de justification aujourd’hui. Je soutiens cette orientation, car il est essentiel d’éviter les doublons et de renforcer la clarté dans la gestion des biens publics.
Une structure devenue obsolète
Le bois d’Havré appartient à la Ville de Mons, mais sa gestion est assurée par une intercommunale aux compétences limitées. Cette superposition ralentit les prises de décision, alourdit la gouvernance, et nuit à l’efficacité des projets environnementaux locaux. Supprimer cette intercommunale permettrait à la Ville de reprendre la main, avec une gestion plus directe, plus transparente et plus réactive.
Une vision responsable de l’intercommunalité
Ce dossier met en lumière un enjeu plus large : celui de la simplification des structures publiques. À l’heure où les citoyens réclament une meilleure utilisation de l’argent public, il est de notre devoir d’évaluer régulièrement l’utilité de nos outils institutionnels. Je continuerai à défendre une gouvernance moderne, pragmatique et au service du bien commun.
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