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La sécurisation du carrefour Cheval Blanc à Quévy reste une préoccupation majeure après plusieurs accidents mortels, dont deux en 2019. Ce carrefour sur la N6 est tristement célèbre pour sa dangerosité. Malgré les mesures déjà mises en place, comme un radar et un éclairage renouvelé, le débat sur l’installation d’un feu tricolore se poursuit. Lors de ma récente intervention au Parlement wallon, j’ai réaffirmé l’urgence de renforcer la sécurité de cet endroit.

Un carrefour toujours dangereux malgré les efforts

Le carrefour Cheval Blanc à Quévy bénéficie de quelques améliorations. Un radar installé en mai 2020 incite les conducteurs à respecter la limite de 70 km/h. L’éclairage a été modernisé pour améliorer la visibilité. Cependant, ces mesures restent insuffisantes pour prévenir les accidents graves. Aux heures de pointe, le trafic engendre des bouchons, aggravant la situation.

Pourquoi un feu tricolore est essentiel pour la sécurité

J’ai demandé au ministre François Desquesnes de reconsidérer la possibilité d’un feu tricolore pour réguler le trafic et protéger les usagers. Malgré mon insistance, les experts en sécurité routière estiment que ce dispositif n’est pas adapté au carrefour. Ils jugent les mesures actuelles suffisantes, bien qu’elles n’éliminent pas les risques.

Mobilisation pour la sécurisation du carrefour Cheval Blanc

Je soutiens la commune de Quévy dans ses démarches pour obtenir des solutions plus efficaces. La direction territoriale des routes de Mons reste un interlocuteur clé pour évaluer d’autres options. Je continuerai à défendre des mesures pour renforcer la sécurisation du carrefour Cheval Blanc à Quévy, un lieu où la sécurité doit primer.

Conclusion : une sécurité à renforcer

La sécurisation du carrefour Cheval Blanc nécessite des actions concrètes pour garantir la sécurité des usagers. Je vous invite à partager vos idées et vos préoccupations concernant ce carrefour dangereux afin de trouver des solutions adaptées.

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Sudinfo