Alors que 86 % des Wallons disposent aujourd’hui d’un dossier médical global (DMG), certains arrondissements restent en retrait. À Mons-Borinage, la moyenne est légèrement inférieure à celle de la Région. En tant que député wallon et élu de proximité, je plaide pour une sensibilisation accrue des citoyens aux bénéfices de cet outil, notamment pour la prévention et la continuité des soins.
Un taux d’ouverture encourageant, mais à améliorer
Selon les derniers chiffres de l’INAMI, la couverture régionale atteint 86,4 %, contre 81,6 % à l’échelle nationale. Mais l’arrondissement de Mons n’atteint pas encore cette moyenne. Pourtant, le DMG permet un meilleur suivi médical, des soins mieux coordonnés et une réduction du ticket modérateur pour le patient.
Pourquoi le DMG est essentiel
Le dossier médical global centralise l’ensemble des informations de santé d’un patient chez son médecin généraliste. Cela améliore la qualité des soins, évite les examens redondants et favorise une prise en charge plus rapide et pertinente. Il s’agit donc d’un levier important pour une médecine plus humaine et plus efficace.
Mon appel à l’action
Je propose que des campagnes d’information soient menées dans nos communes et maisons médicales, afin d’inciter davantage de citoyens à ouvrir un DMG. C’est un enjeu de santé publique, mais aussi de justice sociale : tout le monde doit pouvoir bénéficier de soins de qualité, coordonnés et accessibles.
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